samedi 28 février 2009

JUIFS TUNISIENS CELEBRES DANS LE MONDE




* Azan, Alain - President de Sofinnova Ventures Inc., San Francisco

* Azria, Max - B.C.B.G, Los Angeles (en photo)

* Azria, Vito (Vitola) - Magnat de l'immobilier a Miami et Jet-setter International

* Enriquez Sarano, Dr Maurice - echocardiographiste, Mayo clinic, Rochester, USA

* Ghez, Claude M.D. - Professor of Neurology and Physiology, Columbia University

* Guez, Gerard - Industrie du vetement et restaurants (Barfly, etc..), Los Angeles

* Guez, Paul - Industriel, Los Angeles

* Haccoun, Dr. Robert - Professeur de Psychologie a l'Universite de Montreal

* Haccoun, Dr. David - Professeur a l'ecole Polytechique de Montreal.

* Halfon, Jaco - Createur et Webmaster de Harissa.com, Los Angeles

* Halfon, Michel - President de Pfizer (Viagra), Canada

* Hattab, Jocelyn - Auteur, Réalisateur, metteur en scene de la télévision Italienne RAI UNO, inventeur de jeux télévisés, Italie

* Levy, Jacques - vice president de Walt Disney company, Los Angeles

* Lumbroso, Elio - Realisateur a Radio-Canada, Montreal

* Madar, Jean - Industriel en parfumerie, New York

* Melloul, Sylvain - Coiffeur de Hillary Clinton, Washington

* Mussat, Florence - Chirurgie reconstructive, Chicago - Fille du Dr Mussat (Papouche) (Benmussa Maurice) petite fille du Dr Benmussa Sani (Hopital Charles Nicole)

* Robert Robaire (Robert, "Papouche" Haddad) - Restaurateur, Los Angeles

* Saada, Jacques - Depute au parlement, Canadian Government

* Scialom, David - Medecin des pauvres, Tunisie, decede

* Smadja, Didier - Professeur en Neurologie, Martinique

* Timsit, Roland - Ph.D. in Atomic Physics Toronto, Canada.

* Uzan, Bernard - Directeur Artistique, Opera de Montreal, Canada

* Valenzi, Maurizio - Maire de Naples pendant 10 ans et peintre celebre

* Valensi, Victor - (decede), architecte de la Grande synagogue de Tunis (Osiris)

vendredi 27 février 2009

Issam Barhoumi, Champion Tunisien et international en Arts Martiaux et les sports de combat..






Issam Barhoumi, né en 1978, a déjà derrière lui 14 ans d’expérience en sports de combat et arts martiaux.

Full Contact, Kick Boxing, Boxe Française, Kung-Fu Wushu, Ju-Jitsu, Yoseikan Budo, Judo… Issam Barhoumi ne compte plus les spécialités et va au-delà de ses limites.
« Réaliser l’impossible » n’est pas impossible pour lui.

Enfant, Issam quitte Sidi Bouzid, sa ville natale et s’installe dans l’une des banlieues de Tunis, la capitale de la Tunisie.

Il commence ses entraînements dans des salles de sport et montre un grand talent et une technique subtile. Issam Barhoumi fini alors par avoir un diplôme d’Etat.

Ne pouvant pas joindre d’équipe nationale, il décide une fois adulte d’installer sa propre salle de sport qui lui permet de s’entraîner, mais aussi d’entraîner d’autres jeunes et d’avoir des ressources.

Ses revenus lui servent alors à partir et à participer aux compétitions internationales et Issam Barhoumi enchaîne les titres.

Il est sur le plan national, quatre fois champion de Tunisie en Full Contact et en Kung-fu Wushu, deux fois champion en Kick Boxing, cinq fois champion en Ju-Jitsu et il est sept fois vainqueur du titre en Yoseikan Budo.

Issam Barhoumi est champion Afro-asiatique en Kung-Fu Wushu en 2002.
En 2004, il décroche la médaille d’or à Toulouse lors du tournoi méditerranéen en Boxe Française et en 2005, il est le champion du monde arabe en Kung-Fu Wushu et le vice président du monde en Boxe Française.

Issam Barhoumi ne tarde pas à décrocher le championnat d’Afrique en Yoseikan Budo en 2006 et en mai 2007, il est champion du monde dans la même discipline.

Issam Barhoumi avait a fait ses preuves sur le plan national tout comme international. Alternant les médailles et les finales de championnat en diverses disciplines, Il ne cesse de collectionner les titres.

Ses mérites ne se limitent point au fait qu’il enchaîne les victoires, mais consiste aussi dans le fait qu’il a fait du sport de combat et des arts martiaux sa passion et sa façon de vivre.

La victoire pour lui n’est pas uniquement à décrocher sur le ring. C’est toute une philosophie de vie. C’est ainsi qu’il a appris à affronter chaque obstacle se dressant devant lui pour l’empêcher d’avancer.

Comme lors du dernier championnat du monde en Yoseikan Budo, Issam Barhoumi est prêt à investir de son argent, à partir seul sans équipe nationale ni délégation et à se battre jusqu’au bout.

Cela ne le laisse pas indifférent certes et il le dit lui-même : « Je me suis senti comme un orphelin lors du championnat du monde », néanmoins cela ne l’arrête point et Issam Barhoumi continue à mener sa destinée vers plus de victoires…

mercredi 25 février 2009

Usama Fayyad, ancien dirigeant à la NASA et actuel vice-président et responsable de la gestion de données chez Yahoo!


Usama Fayyad, né en 1963, est un scientifique renommé et entrepreneur dans le domaine des technologies de l'information.
Expert mondialement connu en fouilles de données, il poursuit des études supérieures à l'Université du Michigan et décroche son diplôme de doctorat en 1991. Il dirige par la suite le groupe Machine Learning Systems dans le fameux laboratoire JPL de la NASA. Ses travaux au sein de ce laboratoire lui valent la plus haute distinction décernée par le JPL/Calthech ainsi qu'une médaille du gouvernement américain pour couronner le fruit de ses années de recherches à la NASA.
Il occupe par la suite un poste de responsabilité au sein de Microsoft en supervisant le développement d'algorithmes de fouilles de données servant à des produits tels que Microsoft SQL Server. Il rejoint en 2004 l'équipe dirigeante de Yahoo! en tant que vice-président et responsable de la gestion de données au sein de cette firme (le premier scientifique à se voir attribué ce poste). Il fonde également DMXGROUP puis la start-up DigiMine (en compagnie de Nick Besbeas et Bassel Ojjeh), racheté par Revenue Science, toutes deux spécialisées dans l'extraction de connaissances à partir d'une grande masse de données et l'utilisation industrielle de ce savoir.
Il a à son actif plus d'une centaine de publications scientifiques dans le domaine des fouilles de données et d'extraction de connaissances.



mardi 24 février 2009

Mehdi Benna, très jeune et déjà à la NASA

Ce jeune de 33 ans a fait un parcours remarquable avant de débarquer à la Nasa en tant que spécialiste de l’astronomie et précisément du climat sur les planètes. Originaire de la ville de Nabeul, Mehdi Benna a poursuivi ses études supérieures à l’Ecole Nationale d’Ingénieurs de Tunis (ENIT).

Depuis son jeune âge, il était passionné par les sciences et spécialement l’astronomie. Ses études ne l’ont pas empêché de s’adonner à sa passion première au «club jeunes sciences» de Tunis. En 1999, il obtient son diplôme d’ingénieur en Génie électrique et obtient une bourse tunisienne de 3e cycle pour poursuivre des études doctorales à l’université Paul Sabatier de Toulouse où il a travaillé sur le développement d’un système de sondage radio au laboratoire de Dynamique Terrestre et Planétaire. Son doctorat soutenu en 2002 avait pour thème la Planatéologie et Technologie spatiale. C’est à la suite de cette consécration qu’il a obtenu une bourse post-doctorale de la Nasa et d’intégrer ses laboratoires en tant que chercheur associé.

Actuellement il travaille sur les atmosphères planétaires, les comètes, la physique des plasmas, la conception des systèmes spatiaux embarqués et le calcul numérique intensif. Le jeune chercheur a parallèlement obtenu un diplôme de formation en techniques et technologie des véhicules spatiaux. Il contribua à la construction du robot qui va être envoyé sur la planète Mars en 2009. A cet âge, il est encore célibataire, «je ne suis pas marié, heureusement», dit-il. Le célibat lui a certainement permis d’accomplir ses recherches et de progresser dans ce domaine sans contraintes. Beaucoup pensent, injustement, que le chercheur à la Nasa doit obligatoirement porter la nationalité américaine. A ceux qui lui demandent s’il est Américain d’origine tunisienne, il répond tout simplement «je suis un chercheur tuniso-tunisien à la NASA, je suis Tunisien et fier de l’être».

Lotfi TOUATI
SOURCE: Le Quotidien

Mohamed El Awsat Ayari: Le Directeur Tunisien à la NASA


Ils sont de Hammam Lif …Ils sont six frères… ils sont tous docteurs… ils s’appellent tous Mohamed Ayari, l'ainé serait dit Al Akbar, Le Cadet Al Awsat…Mohamed Al Awsat Ayari a fréquenté l’école primaire et le lycée secondaire d’Hammam Lif. Ses études supérieures se sont faites à l’ENIT où il a obtenu son diplôme d’ingénieur en Génie Civil en 1983. Ses ambitions l’ont mené plus loin. Il est allé à la “Colorado State University” pour préparer une thèse de Doctorat en ingénierie dans une spécialité de pointe. Celle-ci ayant trait à tout ce qui concerne la mécanique appliquée, la mécanique de la fissuration et la mécanique de la fracture “fracture mecanics”. Ce domaine concerne l’étude de comportement des fissurations dans les corps solides : fer, pierre, béton, métaux,...

Sa thèse avait pour objet l’analyse des fractures dans des matières ayant subi des efforts dynamiques “the crack nucleation”.

Sa spécialité et l'objet de sa thèse de Doctorat ont intéressé plusieurs centres de recherches qui l'ont soutenu financièrement afin d'aboutir à des résultats très concluants. Un jour il a été sollicité par un célèbre centre américain de recherches aérospatiales, " The Ball aerospacial " pour résoudre un problème du ressort dans une grande élongation. Mission réussie. On lui a confié encore la résolution d'un autre problème plus difficile et beaucoup plus compliqué dans le " Habel Space telescop ".

La mission a réussi lui a ouvert l'accès à l'agence spatiale américaine… ou il a présidé une équipe de recherche ayant pour mission d'assurer le contrôle et le suivi des structures aérospatiales (navette spatiale, fusée…)…

Dr Ayari vient de mettre au point une nouvelle invention permettant à n'importe qui n'importe où dans le monde à détecter et à observer le Hilal dans une résolution de l'œil humain. Il a présenté cette invention au grand colloque international organisé par la SPIE sur les télescopes astronomiques et l'instrumentation a Marseille, puis à Kairouan capitale de la culture islamique 2009 et ce dans le cadre d’un colloque scientifique international autour du thème : «Al Chaahad» organisé par l’Association des mathématiques et applications (AMA).

lundi 23 février 2009

Zoubaier Baya, le premier arabe à devenir capitaine d'une équipe disputant la Bundesliga


Zoubaier Baya, né le 15 mai 1971 à M'saken, est un ancien footballeur tunisien évoluant au poste de milieu offensif. Il mesure 1,76 m pour un poids de 70 kg.
Il connaît sa première sélection nationale le 16 décembre 1994, contre l'Algérie, lors d'un match amical. Durant sa carrière, il dispute 71 matchs avec celle-ci, marquant 16 buts dont deux de la tête.
Élu par deux fois meilleur footballeur de Tunisie en 1995 — alors que son club de l'Étoile sportive du Sahel (ESS) remporte la Coupe de la CAF — et 1996 alors que ce même club remporte la Coupe de Tunisie, l'ESS remporte terme de la saison suivante, 1996-1997, le championnat de Tunisie.
Lors de son passage au SC Fribourg, il devient le premier arabe à devenir capitaine d'une équipe disputant la Bundesliga. Le 16 août 2000, il fait partie de la sélection des FIFA World Stars contre l'équipe de France (championne du monde à l'époque).
Lors de son retour à l'Étoile sportive du Sahel, son club remporte la Coupe d'Afrique des vainqueurs de coupe en 2003. Revenu dans son club d'origine, le Croissant sportif de M'saken, il participe à la double ascension de ce dernier de la Ligue IV à la Ligue II.
Il travaille actuellement en tant que consultant pour plusieurs médias : Jawhara FM, Tunisie 7, MBC, ART et Al Jazeera.

dimanche 22 février 2009

Samar Mezghanni, la plus jeune novelliste dans le monde et voix de la jeunesse arabe


Samar Mezghani a été la voix de la jeunesse arabe au sommet de Koweït. La jeune tunisienne a exprimé, lors du sommet arabe, tenu à Koweït les 19 et 20 janvier, la satisfaction des jeunes du monde arabe de l'initiative lui permettant de participer aux travaux de ce sommet. Elle a affirmé, qu'à la faveur de cette participation "les ambitions et les rêves des jeunes arabes sont encore plus grands".

Dans son intervention, Samar Mezghanni a exprimé, au nom des jeunes arabes, les souhaits que la nouvelle année s'inscrive pour le monde arabe dans le cadre d'une vision commune de développement.
Pour la première fois, le sommet arabe enregistre la participation directe de la jeunesse arabe.

La jeune Samar Mezghani, âgée de 20 ans, avait été inscrite dans le livre Guinness des records pour l'année 2000 comme étant la plus jeune novelliste dans le monde.
Elle est actuellement membre honorifique de l'Union des écrivains tunisiens et lauréate du prix du livre pour enfants lors de la journée nationale de la culture.
Cette jeune écrivaine tunisienne a publié plusieurs travaux destinés aux enfants. Elle est connue pour sa participation active aux différentes manifestations culturelles et littéraires aux plans arabe et méditerranéen et a obtenu plusieurs prix de considération.

samedi 21 février 2009

Aly M'Rabet, Amour & Perseverance qui font de lui une Success Story à 21 ans




Arts contemporains, danse, médias, cinéma, tous ces domaines n’ont plus de secret pour le jeune Aly M’Rabet. Polyvalent et bouillonnant d'idées, ce jeune de 21 ans a su se faire un nom dans la cour des grands.

Né un 11 mai 1987, Aly M’Rabet se lance dans la danse contemporaine à l’âge de 15 ans. Après une période de quatre années d’apprentissage en danse contemporaine auprès du grand « Hafedh Zallit » durant laquelle il participe à plusieurs créations de la compagnie « Haraka Danse » sous la direction du même chorégraphe, il décide de voler de ses propres ailes. Il stoppe net ses études au lycée de Khaznadar à 19 ans et se lance dans une carrière de création chorégraphique avec un atelier de recherche qu'il a lui- même nommé «L’Atelier Haraka en création» au centre culturel de la ville de Tunis. Dans cet atelier, il donne naissance à sa première pièce «Tænia» puis à la chorégraphie «Territorium». Après quoi, Aly prit un congé sabbatique de neuf mois tout en s'investissant dans la vie associative et essentiellement la lutte contre le sida.

En Octobre 2007, Aly M’Rabet retourne à la scène pour y monter son premier projet en solo «Hum Yughadirun Wa Yussefirun Bi Samt» (Ils quittent et voyagent en silence) dans lequel il exprime sa vision de Tunis dans une démarche de non danse. La non danse qui est une forme de rébellion car c’est une conception du mouvement et de l'art chorégraphique, refusée et marginalisée par une grande majorité des gens de la danse, puisqu'elle redonne à la danse des notions qui sont en contradiction avec les fondements de cet art :« je pense que la danse demeure personnelle, beaucoup plus appropriée à l'être qu'aux codes qui essayent d’en faire un mécanisme machinalement exécutable. »
Ce solo faisait partie de la section officielle de la compétition des pièces en solo lors de la biennale ’’ Danse L’Afrique Danse ’’ dans sa septième édition de Tunis, Co-organisée par CulturesFrance et Ness El Fen.

« Je me souviens encore des réactions à la représentation de mon premier solo « HYWYBS ». Beaucoup de gens ont aimé, d'autres ont détesté. Cela ne peut que me réjouir car ceux qui ont aimé n'étaient pas nombreux : Ils étaient 9. » Confie-t-il en riant.

Mais la scène de la danse contemporaine n’est pas la seul sur laquelle Aly évolue. En effet, il a joué un rôle remarqué dans le feuilleton ramadanesque « Weld Il Talyena » réalisé par Nejib Belkadhy. Dans ce feuilleton, Aly interprétait le rôle de Ferid Federico, le file de l’italienne en question.
De plus, il peut se vanter d’être le père de la Web radio « TB KultureS ». Cette station issue de « Radio Tounes Blédi » présente depuis plus de 5 ans et dont le fondateur Fawzi Abdelkefi et la directrice Khouloud Mabrouk ont contribué au lancement de ce projet novateur et unique en Tunisie. Cette radio prône l’ouverture sur toutes les cultures du monde proposant de nombreuses émissions, traitant de tous les arts, et de tous les horizons. Forte d’une équipe jeune, soudée et ambitieuse, cette station se veut le point de rencontre de toutes les cultures, de tous les arts et de tous les courants quelle qu’en soit l'origine.
Et dans le même ordre d'idées, le jeune homme prépare un festival d’art vidéo. Ce festival, unique en son genre, à pour but de sortir de l'oubli un art peu connu en Tunisie. « La caravane vidéo », comme il l’a appelée, sillonnera les routes du pays pendant un mois allant de Bizerte à Sousse en passant par Le Kef et Tunis. Le bénévolat est donc très présent dans la vie de ce jeune prodige sachant qu’il ne reçoit pas de rémunération de la radio qu’il a créée et qu'il gère et anime et la caravane: « si on trouve des sponsors pour la caravane, cela sera juste pour couvrir les charges diverses du festival. Mon seul gain est celui de voir ce projet réussir. » martèle t-il.
Ajoutez à tous ces projets et ces activités le rôle de Wessim dans le film de « Mehdi Attia » intitulé « Le Fil » aux côtés de Claudia Cardinale et Slim Kechouich, et un projet pour Al Jazeera kids sur lequel il travaille actuellement.

Aly M’Rabet a des idées plein la tête mais il a aussi le courage, la conviction et l’énergie de les mener à bien. Humble et modeste , il ne rate pas une occasion de rappeler qu’il est soutenu par d’autres personnes et refuse sont statut d’artiste polyvalent considérant qu’il n’est qu’un jeune parmi d’autres.

Zied Guiga & la Success Story de sa Wallys Izis: voiture 100% tunisienne



Le mondial de l’automobile qui se tient actuellement à Paris fête son 110ème anniversaire. Ce salon représente l’occasion pour les différents constructeurs, partout dans le monde, d’exhiber leurs nouvelles créations. On trouve les Français les Allemands Les Japonais les Sud coréens… et les Tunisiens.En effet, le jeune Zied Guiga, âgé de 27 ans, a réussi à remporter le défi qu’il s’est lancé. Une voiture 100% tunisienne, fabriqué par une équipe 100% tunisienne. Ce nouveau-né s’appelle Wallys Izis. L'histoire de Guiga avec Izis a commencé au début de l’année 2006, lorsque le jeune tunisien a rencontré l’ami de son père René Boesch, qui a déjà été parmi les importants actionnaires de Jeep. Il est le fabricant des petites Jeep " Dallas " qui ont marqué les années 1980.L’Izis, comme la Dallas, est une voiture "légère" de plage. Ceci rappelle d’ailleurs d’autres voitures construites à cette époque notamment les Citroën Méhari, Renault Rodéo ou Austin Martin Moke. Izis est né dans le plus grand secret, dans une usine de la banlieue de Tunis. Ce contact avec René Boesch a permis à Guiga de concevoir une voiture qui respecte les normes européennes, contenues dans Euro 4.La nouvelle voiture tunisienne était prête pour les routes le 24 août 2007. Mais, il lui manquait l’élément le plus important qui lui permettra de circuler dans tous les pays du monde : l'homologation européenne. En effet, une mise au point a été effectuée pour assurer sa conformité. En Décembre 2007, les tests techniques ont débuté, toujours dans le plus grand secret, sur le circuit de Monthléry, en région parisienne, c’est ce qu’indique le site "montceau-news". Les Tests étant finis en février 2008, la voiture est finalement prête, en accord avec la réglementation européenne concernant le crash tests des véhicules utilitaires à deux places. Le magazine Jeune Afrique a indiqué qu’une version 4 places sera proposée sur le marché tunisien.Plus intéressant, toute la partie mécanique de cette Izis est une base PSA (Peugeot - Citroën) : moteur, trains avant et arrière, freinage et colonne de direction. Pas de problème donc concernant les pièces détachées, puisqu’ ils seront disponibles dans tous les pays où l'on se trouve.Reste à noter que même si la mécanique vient de chez PSA, le châssis et la carrosserie sont 100% tunisiens. De plus, cette décapotable reprend le code stylistique de la Jeep Willys : phares ronds, calandre à six ouïes verticales, pare-brise rabattable. Le moteur n’entraîne que les roues avant.Grâce à une conception simple, le prix a été bien serré. L’Izis coûte 10.000 euros HT, soit un peu plus de 18.000 dinars tunisiens. Reste à savoir si cette voiture tunisienne sera la bienvenue chez les Tunisiens.Zied Guiga, selon Jeune Afrique, emploie actuellement 15 personnes. Ce nombre pourra bien doubler d’ici décembre afin de produire 300 véhicules, à la Marsa en 2009." Notre voiture a reçu un très bon accueil, c'est très positif, je ne m'attendais pas à un tel engouement, notamment de la presse, mais aussi de clients " a affirmé le nouveau PDG à montceau-news.
Fiche technique de la Wallys Iziz
• Longueur : 3340 mm
• Largeur : 1680 mm
• Poids à vide : 920 kg
• Poids maxi : 1350 kg
• Cylindrée : 1,4 litre essence
• Puissance : 55 KW (75 CV)
• Puissance fiscale : 8 CV
• Boîte : mécanique à 5 vitesses
• Freins : disques à l'avant, tambour à l'arrière
• Pneus : 175 X 65 R14
• Vitesse : 140 km/h
SOURCE

vendredi 20 février 2009

Oussama el Mallouli 25ans, des victoires, des déceptions..une Success Story Tunisienne émouvante..









Oussama Mellouli (أسامة الملولي), né le 16 février 1984 à La Marsa (banlieue nord de Tunis), Il quitte la Tunisie à l'âge de 15 ans pour aller étudier (Lycée général et technologique du Rempart à Marseille) et s'entraîner en France. Après son baccalauréat, il continue ses études aux États-Unis où il se voit remettre un master en informatique, le 11 mai 2007, à l'Université de la Californie du Sud de Los Angeles et exerce depuis la profession d'ingénieur en informatique. Il effectue ses premiers pas de nageur au sein de l'équipe universitaire des USC Trojans où il bat quatre de ses records et figure parmi les dix meilleurs nageurs de celle-ci sur plusieurs distances.
Premières victoires
Participant aux Jeux olympiques de Sydney en 2000, il termine 43e aux 400 mètres 4 nages mais s'illustre pour la première fois durant les championnats du monde 2003 en obtenant une médaille de bronze sur 400 mètres 4 nages (4’18’’21) à l'âge de 19 ans. Il est alors élu meilleur sportif tunisien en 2003 et 2004. Il se distingue encore à l'occasion des championnats du monde de natation en petit bassin tenus à Indianapolis en 2004, où il remporte la médaille d'or — la première pour la Tunisie en natation — du 400 mètres 4 nages (4’07’’02) et celle de bronze au 200 mètres 4 nages (1’56’’23). Aux Jeux Méditerranéens 2005, il obtient trois médailles d'or en 800 mètres nage libre, 200 mètres 4 nages et 400 mètres 4 nages où il réussit à obtenir le record méditerranéen en 200 mètres 4 nages (2’01’’00) et 400 mètres 4 nages (4’14’’34).

À l'âge de 22 ans, « Ous » possède un palmarès impressionnant à toutes les échelles et accumule les performances : il possède le record d'Afrique aux 400 mètres 4 nages en grand bassin après l'avoir battu à deux reprises : la première fois en finissant cinquième aux Jeux olympiques d'Athènes en 2004 et la deuxième fois aux championnats du monde 2005, avec un temps de 4’13’’47, en occupant la troisième marche du podium. Il remporte alors une médaille de bronze derrière l'Australien Grant Hackett et le Russe Yuri Prilukov. Il réalise une performance historique durant les mêmes échéances en finissant 5e en 800 mètres avec l'un des dix meilleurs temps jamais réalisés dans toute l'histoire de la natation. Il remporte également une deuxième médaille de bronze aux 400 mètres nage libre (3’46’’08). Le 1er décembre 2006, Mellouli (4’15’’61) devance Michael Phelps (4’18’’32) aux 400 mètres 4 nages durant l'US Open à West Lafayette. Il reçoit par ailleurs le prix Ibn Khaldoun décerné par le Tunisian Community Center.

Affaire de dopage
Le 19 février 2007, il établit un nouveau record d'Afrique du 200 mètres 4 nages (2’00’’21) à l'occasion du Grand Prix de la Fédération américaine de natation organisé à Columbia. C'est la quatrième fois qu'il améliore ce record qu'il détient depuis le 17 avril 2003. Il établit également un nouveau record africain et méditerranéen aux 400 mètres 4 nages (4’11’’64).
Le 25 mars, il devient vice-champion du monde du 400 mètres nage libre à l'issue de l'épreuve disputée dans le cadre des championnats du monde 2007. Le 28 mars, il devient champion du monde du 800 mètres nage libre en battant également le record d'Afrique de la spécialité (7’46’’95) et devient le premier champion du monde de natation tunisien. Cependant, moins de trois semaines après la fin des mondiaux de Melbourne, on apprend que le nageur a été contrôlé positif aux amphétamines, le 30 novembre 2006, lors de l'US Open. Refusant l'analyse de l'échantillon B, Mellouli déclare qu'un étudiant lui avait donné un médicament (un comprimé d'Adderall) pour améliorer sa concentration lors de la préparation de ses examens sans savoir que celui-ci était interdit et qu'il n'était pas dans ses intentions d'améliorer ainsi ses performances sportives. La Fédération tunisienne de natation ne lui avait infligé qu'un avertissement tandis que la Fédération internationale de natation décide de porter l'affaire devant le Tribunal arbitral du sport qui finit par le priver de son titre mondial le 11 septembre 2007, annule tous ses résultats de l'année et le suspend pour 18 mois avec effet rétroactif au 30 novembre 2006, date à laquelle remonte le délit.

Consécration
Il fait son retour aux Jeux olympiques de Pékin[9] et finit 5e de la finale du 400 mètres nage libre (3’43’’45) et 8e en séries du 200 mètres nage libre (1’47’’97). Le 17 août, il remporte à la surprise générale la médaille d'or du 1 500 mètres nage libre avec un temps de 14’40’’84 devant l'Australien Grant Hackett et le Canadien Ryan Cochrane, établissant ainsi un nouveau record d'Afrique et devenant le premier champion olympique tunisien en natation et le second médaillé d'or après Mohammed Gammoudi en 1968.
(...)

jeudi 19 février 2009

Talent en herbe : Faouzi Abdelkéfi, créateur de “Radio Tounes Bledi”



Passionné par les nouvelles technologies de l’information, Faouzi Abdelkéfi, un étudiant de 22 ans installé au Canada, a mis sur pied Radio Tounes Bledi diffusée sur Internet. Le jeune homme a réussi à réaliser un rêve d’enfance: celui de combiner ses connaissances techniques et son rêve de promouvoir l’image de son pays natal: la Tunisie…. Faouzi est un habitué des exploits. Le jeune homme a reçu plusieurs trophées à l’échelle nationale et internationale dont le 1er prix régional des jeunes inventeurs à Tunis en 1997 après avoir mis sur pied un dispositif de surveillance infrarouge assistée à distance par une base de données. Une création qui lui a valu aussi le 1er prix national du meilleur projet technologique 1998 et 1999 et le premier prix du meilleur projet technologique au concours arabe des inventions technologiques à Riyadh (Arabie Saoudite) en 2000. Après avoir participé au développement et à la programmation de plusieurs sites web, Faouzi s’est rendu au Canada pour étudier à l’université de Laval. Il a eu l’idée de créer le Portail Tounes Bledi.com, une vitrine de 3000 pages d’informations qui a pour principal but de favoriser l’échange interculturel et rapprocher la communauté tunisienne. 100 mille internautes visitent le portail pour y trouver différentes facettes de la Tunisie: destination touristiques histoire, économie… Après la réussite du Portail, Faouzi crée la radio Tounes Bledi diffusée 24 heures sur 24 du vendredi au dimanche. Son principal objectif est de permettre aux Tunisiens résidents à l’étranger de vivre l’ambiance du pays tout en étant ailleurs. De nombreuses émissions aussi diverses que variées sont diffusées en arabe, en français et en anglais. La culture, la musique, le sport et l’économie sont aussi au rendez-vous. La Radio met à la disposition de ses auditeurs un système de dédicaces. Une quarantaine de bénévoles constituent l’équipe d’animation et l’équipe technique de la Radio. Tous ensemble avec toujours le même objectif commun: rapprocher les Tunisiens là où ils se trouvent et créer un noyau dur entre les Tunisiens des différents pays et permettre aux jeunes de la deuxième génération de prendre conscience des richesses de la Tunisie. En dix jour le forum a accueilli plus de 1200 messages écrits par plus de 1000 auditeurs fidèles de la Radio.
Ajourd'hui la Radio compte plus que 550 000 auditeurs et fait la Une de différentes manifestations culturelles et associatives.

Chawki El Mejri, le détenteur du 36th International EMMY AWARD





Né le 11 novembre 1961 à Tunis, Chawki a étudié le cinéma en Pologne, dans une des plus prestigieuses écoles d’Europe où a été formé Roman Polanski. Le retour au pays n’a pas été conforme à ses espérances. Un parcours cahoteux et semé d’embûches et d’obstacles ne l’a à aucun instant découragé au point de lui ôter l’envie d’aller de l’avant dans sa téméraire entreprise.Les Syriens font appel à lui pour un coup d’essai qui réussit. Fort de cette confiance, il réalise son premier feuilleton de trente épisodes. De retour à Tunis, il réalise un documentaire «Clef de sol» qui devait rester trois ans en boîte faute de visa de la commission. Il reprend le chemin de Damas et renoue avec les feuilletons. Désormais, le succès est foudroyant. Doué d’un talent innovateur, il devient vite la coqueluche des producteurs syriens, jordaniens et libanais et le catalyseur de toutes les énergies créatrices de l’heure. C’est qu’il a su rompre avec la tradition et apporter un souffle nouveau et régénérateur qui a transformé le feuilleton télévisé en œuvre cinématographique.

Au final, et ça se confirme au fil des ans et des productions, l’ensemble des fictions-télé de Mejri relèvent de plus en plus du cinéma grâce à un sens profond du cadre et du détail, sans compter l’intérêt pour les décors et les costumes qui ne sont jamais anachroniques, jamais fortuits ou gratuits. Mieux, ils sont des signifiants évidents. Désormais connu dans le monde arabe, en tant que réalisateur de fictions produites par des télés arabes, une dizaine de feuilletons tels ceux adaptés de Shakespeare : Tej min chouk, Ikwatou El Tourab ou autres tels El Arwahou El Mouhajira, Omar El Khayam, Tarik El Waer, Abnaou Errachid, El Ijtiyah, n’est-il pas temps pour Chawki Mejri de passer au cinéma? Ne mérite-t-il pas estime et reconnaissance dans son propre pays? Mais le pas va être bientôt franchi, enfin. Puisque à partir d’avril 2009, Chawki Mejri tournera son premier long métrage Le royaume des fourmis, une production tuniso-syrienne sur le conflit israélo-palestinien. Il était temps.

Pour la première fois aux Emmy Awards Internationaux - les oscars américains récompensant les productions télévisuelles étrangères, une série arabe a remporté un prix. " L'invasion " (ou "Al Ijtiyah" en arabe), production jordanienne, dépeint une histoire d'amour entre un palestinien et une israélienne, avec pour toile de fond, l'incursion israélienne de 2002, à Jénine, en Cisjordanie. En raison de la sensibilité de la thématique, la série a été diffusée sur une seule chaîne arabe. Pour le réalisateur Shawqi Al Majiri, il s'agit d'« une tentative de faire la lumière sur les souffrances du peuple palestinien ».
(...) En revanche, la série n’a été diffusée que sur une seule chaine, libanaise, la LBC, en 2007, pendant le Ramadan. L’actrice principale de la série, la jordanienne Saba Mubarak, regrette que la série n’ait pas eu la chance d’être « diffusée sur les chaines arabes » selon le portail d’information moyen-oriental Al Bawaba. « Al Ijtiyah a été ignoré par plusieurs responsables de médias dans le monde arabe » explique t-elle.

Hend Sabry, une actrice et une Star qui a charmé le monde arabe







Née en Tunisie en 1979 où elle fit ses premiers pas d’actrice à 14 ans avec LES SILENCES DU PALAIS (Moufida TATLI), Hend Sabry s’est fait un nom dans le jeune cinéma égyptien grâce au succès du Journal d’une Adolescente de Inas Al Daghidi. Elle poursuit parallèlement sa carrière d’actrice en Tunisie.Résidant en Egypte, elle décide d’interpréter des rôles d’Egyptiennes traditionnels : aussitôt adoptée par le public et ses pairs, elle ne cesse d’enchaîner les rôles. En 2005, l’Union des Journalistes Egyptiens et le Festival du Film du Centre Catholique Egyptien la nomment meilleure actrice de l’année pour Les Meilleurs Moments . C’est donc naturellement que le réalisateur Marwan Hamed lui a proposé d’incarner Bothayna.Orpheline, habitant sur les toits du Yacoubian avec une famille à sa charge, Bothayna symbolise un personnage bien ancré dans la légende urbaine du pays. Il fallait toute la sensibilité d’une jeune actrice pour éviter la caricature, et faire entendre sa voix. « Il y a un an et demi environ, mes amis m’apprenaient à lire en arabe égyptien. Ils m’ont offert L’Immeuble Yacoubian, me disant que le style en était simple. Je l’ai lu en deux jours : impossible de poser le livre ! Et j’avais l’impression étrange, en lisant les descriptions de Bothayna, qu’il s’agissait de moi : une fille aux dents de travers, une veine sur le front qui gonfle à la moindre contrariété, et le rire d’une gamine. J’ai rêvé de ce film et de ce rôle ». Et d’ajouter : «Six mois après m’avoir offert le rôle, Marwan Hamed m’annonce que son père avait vendu les droits, et qu’il ne mettrait pas le film en scène.Quelques temps plus tard, juste avant d’aller défendre ma thèse à Tunis, je reçois un appel : c’était Marwan, fou de joie. Il allait tourner le film, et il avait convaincu son père que Bothayna, c’était moi, et personne d’autre.»...
Site Officiel: www.hendsabry.com

mardi 17 février 2009

Une success-story Tunisienne avec Atef Sedkaoui


Il y a peu de nouveaux artistes qui peuvent se vanter d’avoir parmi leurs fans Elton John, Craig DAVID, Joss Stone et Patti Labelle : Atef Sedkaoui n’est en aucun cas un artiste ordinaire tout comme son histoire.
Il est né dans le sud de la France (à coté de Marseille) de parents Tunisiens originaires de Bizerte. Artiste depuis l’enfance, partagé entre sa passion pour la musique et des études d’anglais (licence), il obtient ses premiers succès avec le groupe M’SOURCE (2 Albums : Bhava, El Hayet et des concerts (Zénith Toulon, Marseille, Festival de la villette (Paris) des docks des Suds (Marseille) et Festival international de Bizerte etc.…)), Sa voix douce et unique devient avec celle de son frère Akram SEDKAOUI une marque déposée pour le groupe.
Après cette expérience enrichissante de world music, Il décide de se lancer dans une carrière solo... Son charme s’exercera en se produisant dans un club à Monaco en 2005, ce qui tout allait changer !
Le Sass-Café à Monaco est un des fameux rendez-vous de la Jet Set et la destination des riches et célèbres du monde entier. On y retrouve régulièrement les familles royales, des pilotes de formule 1, des superstars. : acteurs, musiciens et Chanteurs. Une nuit en Juin 2005, ATEF chantait au club où un des convives s’est avéré être le business man milliardaire saoudien Walid JUFFALI. Ce fût la rencontre qui changea à jamais le court la vie de ATEF. Walid JUFFALI étudiait l’opportunité de créer une société de production de film et musique (via W Investments (UK) ) , la découverte de ce chanteur extraordinaire confirma sa décision. Dans les deux mois, il créa un studio et ATEF enregistra une démo.
En août 2005, ATEF se prépare à se produire à une soirée particulière suite à l’invitation du grand ami de Walid : Elton John. Un événement qui propulsera ATEF vers son rêve de succès.
Au cours de la fameuse soirée de charité « White Tie and Tiaras » d’Elton John. Nil Rogers et Chic étaient sur scène au coté de Patti Labelle et Joss Stone chantant devant 500 personnes parmi les plus riches et plus célèbres au monde. Au milieu de la soirée ATEF, à l’invitation d’Elton John il est appelé sur scène par Joss Stone pour un duo avec la légendaire Patti Labelle. L’assistance ravie répondit à la performance d’ATEF et de Patti par un tonnerre d’applaudissements A ce moment Patti Labelle lui offrit un travail pour l’accompagner pour sa tournée mondiale (Cette Offre généreuse fût refusé par ATEF).
Les premières impressions de Walid au sujet du talent d’ATEF furent confirmées de belle manière. Depuis ATEF alla s’installer à Londres, Walid JUFFALI mis rapidement en route la machine pour lancer la nouvelle carrière de l’artiste. En à peine un an un album a été écrit et enregistré, il sera prêt pour le début 2007. Un premier single est de sorti le 16 Octobre 2006 suivi un deuxième single avant fin 2006.
Le premier single d’ATEF s’intitule "Unconditionally", c’est un morceau très personnel pour l’artiste et son mécène. Les paroles de cette chanson était à l’origine une poésie écrite par Walid pour sa fille le jour de son mariage. Le sentiment sincère de l’amour d’un père pour sa fille a inspiré ATEF pour mettre les mots en musique, et la magie se produisit.
"Unconditionally" est la première chanson POP d’un artiste mature, avec une saveur orientale, présentant le talent vocal véritablement unique d’ATEF avec des choeurs singuliers. Les thèmes évoqués par toutes les chansons d’ATEF sont paix, unité et optimisme, ceux-ci décrivent le long chemin de l’homme lui-même.
Le tournant extraordinaire que sa vie a pris au cours cette année, a incité ATEF à créer une musique qui a un message positif, plein d’amour et de réconciliation...